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01 Aug

02 août

Publié par Saints & Saintes  - Catégories :  #Calendrier

 

Saint Pierre-Julien Eymard Fondateur des pères du Saint-Sacrement (+ 1868)

Fils d'un boutiquier de village dans la région de Grenoble, il fut d'abord prêtre séculier. En 1839, il entre chez les Pères maristes dont il quitte la congrégation en 1856, à la suite des apparitions qu'il reçut de la Vierge Marie, le chargeant de fonder un institut sacerdotal voué à l'adoration perpétuelle du Saint Sacrement. Ses dernières années furent remplies de souffrances venant de ses religieux qui n'avaient plus confiance en lui. "Donnez-moi la croix, Seigneur, disait-il, pourvu que vous me donniez aussi votre amour et votre grâce."
Site européen des Religieux du Saint Sacrement.
http://fr.ssseu.net/index.php?option=com_content&task=view&id=15&Itemid=36

Un internaute nous écrit:
"Né le 4 février 1811 à La Mure (Isère) dans une famille d’artisan profondément chrétienne, Pierre-Julien, après un essai chez les Oblats à Marseille, a été ordonné prêtre de Grenoble en 1834. Pendant 5 ans, il exerce son ministère dans son diocèse d’abord comme vicaire à Chatte puis comme curé à Monteynard. En 1839, il entre chez les Maristes et, pendant 17 ans, y exerce des charges variées : directeur spirituel au collège de Belley en 1840, assistant général du P. Colin à Lyon en 1844, puis visiteur général et directeur du Tiers-Ordre de Marie en 1846, enfin supérieur du collège de La Seyne-sur-Mer en 1851.
A la suite d’une ‘grâce de vocation’ reçue à Fourvière le 21 janvier 1851, il se sent appelé à créer un corps religieux destiné à promouvoir le culte de l’Eucharistie. Après bien des épreuves, il quitte la Société de Marie et fonde à Paris le 13 mai 1856 la Société du Saint-Sacrement, institut contemplatif et apostolique, avec l’adoration du Saint-Sacrement et des œuvres pour les laïcs, notamment la Première communion des adultes et l’Agrégation du Saint-Sacrement. En 1858, avec Marguerite Guillot, une tertiaire lyonnaise qu’il a accompagnée, il forme la branche féminine des Servantes du Saint-Sacrement, à laquelle Mgr Angebault, évêque d’Angers, conférera en 1864 son statut canonique. En 1865, le P. Eymard reçoit à Rome une grâce singulière, celle du don total de lui-même à Dieu – le ‘vœu de la personnalité’. Adorateur et prédicateur infatigable, il révèle à Paris, en province et en Belgique la richesse de l’Eucharistie et il invite les fidèles à la communion fréquente. En réponse aux défis de son époque, il promeut une spiritualité animée par l’amour et dont l’Eucharistie est la source et le terme. Épuisé, il meurt à La Mure le 1er août 1868. – Béatifié par Pie XI en 1925, canonisé par Jean XXIII le 9 décembre 1962 à l’issue de la 1e session du concile Vatican II, saint Pierre-Julien Eymard a été inscrit en 1995 au calendrier liturgique de l’Église à la date du 2 août.
Cet ‘apôtre éminent de l’Eucharistie’, fondateur de deux Congrégations répandues sur tous les continents, a laissé une nombre considérable de manuscrits. Ceux-ci ont fait l’objet d’une édition électronique, accessible sur le site www.eymard.org, et d’une édition imprimée, ses Œuvres complètes en 17 vol., Centro eucaristico, Ponteranica (Italie) et Nouvelle Cité (France), 2008."

Oeuvres complètes:
http://www.eymard.org/eym/sr.asp?Init=1

Voir aussi:
http://www.magnificat.ca/cal/fran/08-03.htm#eymard
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre-Julien_Eymard
http://www.clairval.com/lettres/fr/2004/01/13/6140104.htm
http://www.adoperp.com/saints/Eymard/bigraphie/
http://hodiemecum.hautetfort.com/archive/2009/08/03/index.html Bas de page



Bienheureux 6 martyrs de la guerre civile martyrs de la guerre civile espagnole (+ 1936)

Béatifiés le 25 octobre 1992

En Espagne, dans la persécution qui sévit au cours de la guerre civile, en 1936, six bienheureux martyrs: à Basbastre, Philippe de Jésus Munarriz Azcona, Jean Diaz Nosti et Léonce Pérez Ramos, prêtres, missionnaires fils du Coeur Immaculé de Marie, fusillés par les miliciens à la porte du cimetière - Zéphyrin Giménez Malla, tsigane, qui s’employa à promouvoir la paix et la concorde entre son peuple et ses voisins et, parce qu’il cherchait à défendre un prêtre maltraité par des miliciens dans les rues, fut emprisonné, conduit au cimetière et fusillé, tenant en main son chapelet - à Hijar près de Teruel, François Calvo Burillo, prêtre dominicain - à Madrid enfin, François Tomas Serer, prêtre du Tiers-Ordre franciscain.
Martyrologe romain

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Martyrs_de_la_guerre_d%27Espagne
http://www.conferenciaepiscopal.es/santos/martires.htm



Saint Auspice Evêque d'Apt (1er s.)

Crypte inférieure de la cathédrale d'Apt où aurait été identifié le corps d'Auspice

Premier évêque d'Apt (96-v.102), il y aurait été envoyé par Saint Clément Ier.
"L'apparition du christianisme dans le pays de Vaucluse a été entourée comme dans toute la Provence de légendes nombreuses d'après lesquelles la religion nouvelle aurait été apportée par les disciples mêmes du Christ ou par des évêques envoyés par ses apôtres: sainte Marthe et saint Ruf à Avignon, saint Eutrope à Orange, saint Auspice à Apt."
(source: site internet du diocèse d'Avignon)
http://diocese-avignon.fr/spip/
Ses reliques setrouvent dans la Basilique Sainte-Anne d'Apt.
http://www.apt-cathedrale.com/

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint_Auspice



Saint Basile (+ 1552)

Le fol en Christ naquit à Elokhov, un village près de Moscou, dans une famille de paysans. Lui-même devint cordonnier, mais à seize ans, il partit à Moscou où il embrassa l'ascèse de la folie simulée. Il voulait ainsi communier à la Passion du Christ, sans domicile, sans un abri, pratiquement nu dans les rues et sur les places publiques, gardant le silence ou feignant de ne point savoir parler, il vécut ainsi comme un ermite au désert. Mais montrait une grande charité pour les pauvres et les opprimés. Le tsar Ivan IV le terrible avait une grande admiration pour lui et l'invita même une fois en son palais où le saint devint prophète de l'incendie de Novgorod. A ses funérailles, l'empereur lui-même porta son corps jusqu'à l'église où l'attendaient le métropolite de Moscou. Son tombeau devint un lieu de pèlerinage et on bâtit un église dédiée à la Protection de la Mère de Dieu en l'icône de Kazan, église qui reçut ensuite le nom de saint Basile, sur la Place Rouge, non loin du Kremlin.

Icône moscovite de Notre-Dame de Kazan

Voir aussi:
http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsaout/aout02bis.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Notre-Dame_de_Kazan_(ic%C3%B4ne)



Saint Bohaire (+ 623)

Cathédrale Notre-Dame de Chartres (dédicace en 1037)

On dit qu'il était originaire de Rome. Il vint au diocèse de Chartres où l'évêque lui accorda un ermitage à peu de distance de Blois. Devenu évêque de Chartres, il connut l'invasion des Bourguignons, les meurtres et l'incendie de sa ville. Lui-même fut fait prisonnier. Sa bonté s'imposa au roi Thierry de Bourgogne qui le libéra des fers et répara le mal qu'il avait fait aux habitants. Saint Bohaire vécut alors des années paisibles au milieu de ses fidèles qui jamais n'oublièrent le lieu de sa première solitude : Saint Bohaire-41330.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Bohaire

Sur l'annuaire du diocèse de Chartres, dans la liste des évêques, figure Boetharius, v.600.
Dans le livre 10000 saints, éd. Brépols, il est dit qu'un évêque de Chartres de 595 à 623 (?) a participé au concile de Sens, mais que les renseignements sur sa vie sont douteux.

Autre biographie:
St-Bohaire (Béthaire) Natif de la ville de Rome, il émigre en France et s’installe comme ermite dans la région de Blois, au diocèse de Chartres. Là, il bâtit un ermitage ainsi qu’une petite chapelle consacrée à Saint-Georges. Sa renommée s’étant étendue jusqu’à la cour, le roi Clotaire II lui demande de devenir son confesseur. Puis, en 594, il succède à Pappole comme évêque de Chartres. Quelques années plus tard, il réussit à délivrer les citoyens de sa ville de l’emprise de Thierry, le roi de Bourgogne (+ vers 623)

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9thaire_de_Chartres
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Notre-Dame_de_Chartres



Saintes Centolle et Hélène martyres en Espagne (+ v. 304)

Burgos : la vieille ville avec l'église San Esteban et la Cathédrale

Saintes Centolle et Hélène, vierges, martyres à Burgos en Vieille-Castille pendant les persécutions romaines vers 304.
Au pays de Burgos en Espagne, sainte Centolle, martyre.
Martyrologe romain

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Burgos



Sainte Etheldrite (+ 834)

Fille de l'un des rois de l'Angleterre, elle se retira en recluse près du monastère de Croyland, Lincolnshire, que son père avait fait construire.

Autre biographie:
Ste-Alfreda (Etheldritha) Fille du roi Offa de Mercie (Angleterre) et de son épouse Quindreda, Alfreda est promise en mariage à Saint-Ethelbert, le roi de l’Est-Anglie. Malheureusement, celui-ci meurt assassiné avant que le mariage ne soit célébré. Alfreda décide alors de quitter la cour pour se retirer comme ermite non loin de l’abbaye de Croyland, où elle passe tout le reste de sa vie (+ vers 850)

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Offa_de_Mercie



Saint Etienne Ier Pape (23 ème) de 254 à 257 (+ 257)

Son pontificat dura trois années, mais il fut fertile en difficultés. Il avait envisagé de rétablir dans leurs fonctions des évêques de Lusitanie (Espagne-Portugal) qui avaient obtenu des certificats de sacrifices pour échapper au martyre. Saint Cypien de Carthage s'élève contre lui. Dans le même temps, il eut à combattre le schisme de Novatien en Gaule. Enfin, il retrouva l'opposition de saint Cyprien quand saint Etienne décida que les baptêmes conférés par des hérétiques étaient des baptêmes valides. En fait cela montre que l'Eglise était soucieuse de la primauté de l'évêque de Rome, mais aussi que certains grands évêques craignaient que des hérétiques ou des schismatiques l'utilisent contre eux en la circonvenant.

Autre biographie:
St-Étienne 1er Fils d’un citoyen romain nommé Julius. Ordonné prêtre puis nommé archidiacre sous l’autorité des papes Saint-Cornelius et Saint-Lucius, respectivement, c’est ce dernier qui le choisit pour lui succéder. Consacré le 12 mai 254, il se retrouve très rapidement impliqué dans les controverses qui agitent l’Église et doit arbitrer les litiges qui opposent les différentes sectes hérétiques. Les circonstances de sa mort sont sujettes à caution puisque selon Saint-Grégoire le Grand, il serait mort en martyr. Cependant, les recherches effectuées sur des documents plus récents tendraient à infirmer cette hypothèse (+ 257)

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tienne_Ier_(pape)



Saint Eusèbe de Verceil Evêque (+ 371)

Que nous avons déjà fêté avec les Eglises d'Orient le 1er août. Originaire de Sardaigne, Eusèbe est un lecteur agrégé au clergé de Rome. C'est là qu'il rencontre des moines égyptiens, exilés pour leur fidélité à la foi en la divinité du Christ, proclamée au concile de Nicée. Vers 344, il est élu évêque de Verceil en Italie. Il avait été frappé par l'exemple des moines cénobitiques (vie commune) qu'il avait connus à Rome. Il introduit donc cette vie commune dans son clergé, exemple qui sera suivi par saint Augustin. Au coeur de la crise de l'arianisme, quand triomphent ceux qui nient la parfaite égalité du Père et du Fils, Eusèbe prend le parti de saint Athanase d'Alexandrie. A son tour, il connaîtra l'exil en Orient. Quand il revient en Italie, six ans plus tard, la situation est toujours confuse. Il soutient les effort d'Athanase pour condamner l'arianisme tout en pardonnant aux ariens repentis. Mort en 371, il fut tout de suite considéré comme martyr à cause de ses épreuves endurées pour la vraie foi.
Audience générale du 17 octobre 2007, Benoît XVI: "Solidement formé dans la foi nicéenne, Eusèbe défendit de toutes ses forces la pleine divinité de Jésus Christ, défini par le Credo de Nicée "de la même substance" que le Père."
http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/audiences/2007/documents/hf_ben-xvi_aud_20071017_fr.html
Autre biographie:
Né en Sardaigne au début du IV ème siècle, Eusèbe fut élevé à Rome où il fut ordonné lecteur, avant d’être envoyé à Verceil pour prendre en charge les chrétiens de cette ville. Peu de temps après, la population locale l’élit évêque par acclamation, et le pape Jules 1er le consacra en 345 comme premier pasteur de cette Église qui recouvrait alors une vaste partie du territoire piémontais.
Homme de grande sagesse et orateur infatigable à la parole efficace, Eusèbe diffusa le christianisme et le consolida dans les populations des régions subalpines. Il s’inspira de la tradition monastique naissante et fut le premier à introduire en Occident la vie cénobitique pour tous ses collaborateurs : il réunit les prêtres de son diocèse dans le monastère de Verceil et leur proposa une discipline faite de travail, d’étude et de prière. Dans sa communauté se formèrent ainsi des évêques de bien d’autres diocèses de l’Italie du Nord.
Inébranlable défenseur de la foi de Nicée et du patriarche Athanase d’Alexandrie, Eusèbe ne redouta pas d’affronter l’empereur Constance et le courroux des ariens ; mais il paya sa fermeté par l’exil, d’abord en Palestine, puis en Cappadoce et dans la Thébaïde, arrivant au seuil de la mort violente : pour cette raison, l’Église lui a reconnu, depuis toujours, le titre de martyr.
De retour à Verceil en 363, Eusèbe apporta sa collaboration jusqu’à sa mort à Hilaire de Poitiers pour rétablir la foi des apôtres dans les Églises piémontaises et transalpines.

Lecture

Je me réjouis, frères très chers, de votre foi ; je me réjouis du salut qui suit la foi ; je me réjouis des fruits que vous portez non seulement là où vous demeurez, mais aussi au loin . Comme l’agriculteur greffe, en effet, le bon arbre qui, puisqu’il produit des fruits, ne subit pas les coups de la hache et n’est pas jeté au feu, de même nous aussi nous ne désirons pas et nous ne voulons pas proposer à votre sainteté simplement le service qui convient à la chair, mais notre propre vie pour votre salut.

(Eusèbe de Verceil, Lettres 2, 2)

Prière

Notre Dieu, en faisant mémoire d’Eusèbe, fondateur de notre Église locale et défenseur de la foi en Christ, homme et Dieu, nous te prions : éclaire et fortifie nos pasteurs, pour qu’attentifs à leur ministère, nous soyons guidés sur le chemin de la vérité et de la sainteté.
Par le Christ notre Seigneur.

Voir aussi:
http://www.levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=saintfeast&localdate=20090802&id=11342&fd=0
http://fr.wikipedia.org/wiki/Eus%C3%A8be_de_Verceil



Saint Guntaker (+ 1075)

Cathédrale d'Eichstätt : vue du chœur, côté ouest

ou Gundekar, évêque d'Eichstätt en Bavière, grand évangélisateur qui brilla par les nombreux miracles qu'il fit de son vivant et que l'on rapporte comme un signe évident de sa sainteté.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Eichst%C3%A4tt

Autre biographie:
St-Guntaker Chapelain de l’impératrice Agnès et évêque d’Eichstätt, en Bavière. Au cours de son pontificat, il a fait bâtir pas moins de 126 églises (1019-1073)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Agn%C3%A8s_d%27Aquitaine



Saint Maxime évêque de Padoue (3ème s.)

Le Dôme de Padoue est la cathédrale de la ville de Padoue.

Il figure sur le retable de Saint Luc conservé à la pinacothèque de Brera, à Milan, avec des saints dont les reliques étaient dans l'église
Sainte Justine de Padoue à laquelle ce tableau était destiné.

À Padoue en Vénétie, au IIIe ou IVe siècle, saint Maxime, évêque, qui succéda, dit-on, au premier évêque, saint Prosdocime.
Martyrologe romain
http://nominis.cef.fr/contenus/saints/9007/Saint-Prosdocime.html

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Padoue
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%B4me_de_Padoue



Saint Pierre d'Osma Evêque d'Osma (+ 1109)

Cathédrale d'El Burgo de Osma

Natif du Berry, il entra dans l'Ordre de Cluny au diocèse d'Autun. Ce qui lui valut de devenir archidiacre de Tolède en Espagne et évêque d'Osma en Castille.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_d%27El_Burgo_de_Osma



Saint Rutilius Exilé africain, martyr sous le règne de Dèce (+ 250)
Natif d'Afrique proconsulaire, il s'enfuit d'un endroit à un autre, pendant la persécution de Dèce.
Il tenta même d'acheter ses persécuteurs. Arrêté néanmoins, il confessa courageusement le Christ puis fut tué.
Tertullien nous a laissé ce récit dans "La fuite devant la persécution" (De fuga in persecutione).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tertullien



Saint Serenus de Marseille Evêque de Marseille (+ 601)
Cathédrale Sainte-Marie-Majeure de Marseille

Nous le connaissons par les lettres que lui adressa le pape saint Grégoire entre 596 et 601. Dans cette correspondance, il s'agit de l'accueil des moines envoyés en Grande-Bretagne, saint Augustin futur évêque de Cantorbery et ses compagnons et que Serenus a reçus. Il s'agit aussi du culte des Saintes Images que, dans un zèle excessif, il avait interdit :"Ne défends pas de faire des images, lui écrit le pape, empêche seulement qu'on les adore." Il serait mort au retour d'un voyage à Rome, dans le diocèse de Verceil, près de Briandrate dont il est le patron et où ses reliques sont en grande vénération.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_de_Marseille
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Sainte-Marie-Majeure_de_Marseille



Sainte Théodote (4ème s.)

Nicée (en turc moderne İznik) est une ville d'Anatolie (Turquie)

Martyre. Brûlée vive à Nicée avec ses trois fils en témoignage de leur foi au Christ, Verbe incarné consubstantiel au Père.

Voir aussi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Nic%C3%A9e



Les Églises font mémoire…

Catholiques d’occident : Eusèbe de Verceil (calendrier romain et ambrosien) ; Centolle et Hélène, vierges et martyres (calendrier mozarabe)

Coptes et Éthiopiens (26 abib/hamlë) : Joseph le Juste, protecteur de Marie et de Jésus ; Abba Salama, évêque (Église éthiopienne)

Luthériens : Christoph Blumhardt (+1919), témoin de la foi au Würtemberg

Maronites : Recouvrement des reliques d’Etienne, premier martyr ; Alphonse-Marie de Liguori (+1787), évêque

Orthodoxes et gréco-catholiques : Translation des reliques d’Etienne (428), premier martyr et archidiacre ;
http://calendrier.egliseorthodoxe.com/sts/stsaout/aout02.html
Salomé (XIIIe s.), martyre (Église géorgienne)

Syro-occidentaux : Ahudemmeh (+575), catholicos

 

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